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Réemploi des décors et costumes à l’Opéra

salle de l'opéra de Limoges, sièges vides
Mis à jour le 16 décembre 2024

L’Opéra de Limoges et l’Opéra National de Bordeaux se sont engagés conjointement dans une réflexion sur la transition écologique de leurs productions.

Afin de nourrir les réflexions sur la transition écologique des maisons d’opéra en France, Limoges et Bordeaux ont décidé de se concentrer sur la question du réemploi des décors et costumes, tandis que d’autres consortiums, tels que le collectif 17h25, poursuivent la réflexion sur la mutualisation d’éléments standard de décors ou encore l’éco-conception.
Les deux opéras néo-aquitains ont sollicité une étude préliminaire pour identifier et assoir des principes communs aux deux maisons sur la maîtrise d’ouvrage circulaire et raisonnée de la production des décors, costumes et accessoires.

« Nous sommes deux maisons sur la ligne de départ (il n’y a que deux opéras en Nouvelle-Aquitaine) mais notre objectif est aussi de faire partager notre approche à d’autres institutions. »

Alain Mercier, directeur général et artistique de l’Opéra de Limoges. –

Nous sommes allés à la rencontre du personnel de l’Opéra de Limoges :

||| Alain Mercier, directeur général et artistique
||| Amandine Petite, menuisière
||| Nelli Vermel, cheffe costumière
||| Laurent Garnier, serrurier
||| Frédéric Peyrot, peintre

Et des deux metteurs en scène du collectif Clarac et Delœuil > le lab pour comprendre comment cette question du réemploi raisonne en eux et peut se déployer dans les créations et productions à venir.

Moderato | Le documentaire

Moderato | Le documentaire


Télécharger la liste des séquences du film
Une démarche bien engagée

Une démarche bien engagée

Que ce soit pour l’Opéra national de Bordeaux ou l’Opéra de Limoges, la réflexion sur une production plus vertueuse et éco-responsable est antérieure à leur demande d’étude préliminaire. En effet, chacune de leur côté, ces maisons d’opéra ont expérimenté, et continuent de le faire, des techniques pour réduire l’impact écologique de certaines productions.

L’Opéra national de Bordeaux a opté pour une politique « Zéro achat » tandis que l’Opéra de Limoges a testé le concept « Un créateur, un seul décor, plusieurs œuvres ».

Le zéro achat

Le zéro achat

L’Opéra national de Bordeaux (ONB) s’est engagé dans une politique Zéro achat dès janvier 2023 avec Requiem de Mozart. Depuis, deux créations par saison sont produites ainsi.

Emmanuel Hondré, directeur général de l’Opéra national de Bordeaux, n’a pas eu de mal à convaincre Stéphane Braunschweig, scénographe du Requiem de Mozart, qui a répondu avec enthousiasme au défi : penser un décors entièrement à partir de matériaux et éléments existants, et ce de façon totalement invisible pour les spectateurs.
Ainsi, en plus de la réutilisation des stocks de l’ONB, le Requiem est passé par des circuits alternatifs pour se procurer certains éléments scénographiques : friperie solidaire, don en nature par des entreprises du textile ou du bois.

Suite à cette première expérience réussie, l’ONB propose chaque saison deux productions « zéro achat » : une création « grande forme », telle que Requiem ou La Bohème, et une création « petite forme » proposée par l’Académie de l’Opéra.

Si cette démarche d’économie circulaire participe assurément à rendre les productions plus vertueuses sur le plan environnemental, elle ne permet pas d’en réduire le coût.

« Ce que l’on achète pas on va le dépenser en temps. C’est plus compliqué d’arranger un matériau qui a déjà de l’existence mais aussi d’aller à la recherche de partenaires. C’est un investissement sociétal. »

Emmanuel Hondré, directeur général de l’Opéra national de Bordeaux. –
Ateliers décors © Opéra National de Bordeaux
Atelier décors de l’Opéra national de Bordeaux
Un créateur, un seul décor, plusieurs œuvres

Un créateur, un seul décor, plusieurs œuvres

L’Opéra de Limoges a opté pour un autre concept pour réduire l’impact environnemental des productions, celui de la réutilisation d’un même décor pour plusieurs créations.
Aucun décor n’est imposé à un metteur ou scène ou un scénographe ! Dans l’expérimentation menée à Limoges, il est proposé à un créateur de penser plusieurs de ses œuvres à partir d’un seul et même décor, également imaginé par lui. Ainsi, le créateur est amené à se projeter dans ses futures œuvres pour créer un décor qui pourra s’adapter à plusieurs propos artistiques.

En avril 2024, l’Opéra de Limoges a programmé Nous sommes la terre, création scénique d’après La Grande Messe en ut mineur KV 427 (1783) de W. A Mozart, dont le décor était partagé avec le projet Adieu à la Mélancolie, d’après Luo Ying. Ces productions sont toutes deux signées Roland Auzet à la mise en scène.
De même, la compagnie L’Unijambiste a monté Macbeth en 2024 à partir du décor de la même compagnie utilisé en 2015 pour Der Freischütz.

Et la suite ?

Et la suite ?

L’étude préliminaire remise aux deux opéras néo-aquitains appelle à d’autres études complémentaires, notamment sur la faisabilité d’une ressourcerie qui pose la question de l’infrastructure nécessaire, de son emplacement et de son portage.

En Nouvelle-Aquitaine, d’autres projets de ressourcerie sont en cours de montage, notamment celui porté par Ciné Passion 24 dans l’ancienne usine de tabac à Sarlat. Pensée initialement comme une ressourcerie dédiée au cinéma et à l’audiovisuel, des passerelles pourraient peut-être se tisser avec le secteur du spectacle vivant et donc de l’opéra (lire l’article Du tabac au cinéma : une réhabilitation vertueuse).

Cartes d’identités des opéras

Cartes d’identités des opéras

Uniques opéras sur l’ensemble de la Nouvelle-Aquitaine, découvrez les spécificités de ces deux maisons en quelques éléments clés.

© William Windrestin / © Opéra de Limoges / © Opéra National de Bordeaux


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Spectacle vivant

Spectacle vivant | Exemples inspirants

AdobeStock #891780659 par DesignStorez

Pour mieux comprendre les attendus du règlement d’intervention « Spectacle vivant » de la Direction de la Culture et du Patrimoine, il vous est proposé de découvrir quelques porteurs de projets qui s’inscrivent parfaitement dans l’un des trois axes suivants : « transitions », « droits culturels » et « territoire ».

Puisqu’un exemple concret est plus parlant qu’un texte administratif de règlement d’intervention, découvrez 15 opérateurs (compagnies, labels, ensembles musicaux, lieux culturels de proximité), répartis sur l’ensemble de la Nouvelle-Aquitaine. Pour chacun d’entre eux, c’est les points forts de leur démarche en terme d’engagement dans la transition écologique, de respect des droits culturels ou d’implantation et implication du territoire qui sont mis en avant.

Exemples inspirants
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Lost In Traditions

Visuel Lost In Traditions
Mis à jour le 16 décembre 2024

Basé en Corrèze, le collectif Lost in Traditions est engagé pour la vitalité et la diversité des territoires au moyen de différentes actions et projets. Il s’inscrit dans l’axe « territoire » du règlement d’intervention Spectacle vivant.

Pour mieux comprendre les attendus du règlement d’intervention « Spectacle vivant » de la Direction de la Culture et du Patrimoine, il vous est proposé de découvrir quelques porteurs de projets qui s’inscrivent dans l’un des trois axes suivants : « transitions », « droits culturels » et « territoire ».

Lost In Traditions oeuvre pour un réel projet de territoire :

  • en investissant le champ de la médiation artistique au quotidien sur son territoire proche, via La Manufacture, et, plus ponctuellement, à l’occasion de ses tournées ;
  • en initiant et animant des collectifs soutenant la création d’essence patrimoniale pour des artistes néo-aquitains ; c’est le cas avec La Baze et Le Garage Résidence ;
  • en empruntant des éléments appartenant à l’histoire locale, au patrimoine et aux personnes pour l’acte de création. L’intention est de territorialiser les œuvres et d’en faciliter l’accès aux personnes.
Le projet La Baze

La Baze

En 2020, le collectif Lost in tradition s’est associé au Centre Régional des Musiques Traditionnelles en Limousin et à la compagnie la Dérive pour initier le projet La Baze : projet de création et d’animation d’un tiers-espace culturel en milieu rural à Seilhac.

La Baze est un ensemble immobilier composé d’une maison d’habitation, d’une grange, d’un hangar et de terrains. Il a pour objectif de réunir au cœur de ces bâtiments :

  • un espace professionnel de fabrication et de création artistique contemporaine pluridisciplinaire (musique, théâtre, cirque…),
  • un hébergement pour les artistes accueillis et pour d’autres personnes de passage sur le territoire,
  • un lieu de travail partagé à la fois par les membres des équipes fondatrices et des travailleurs indépendants,
  • un studio de création numérique et musicale,
  • des espaces bruts de création et de répétition,
  • des espaces de réunion et de convivialité.

Ce projet dépasse la simple dimension culturelle, puisqu’il s’agit avant tout d’un lieu de la vie générateur de lien social, ouvert et qui participe au dynamisme et à l’activité économique du territoire.

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Larural

Visuel Larural
Mis à jour le 16 décembre 2024

L’association Larural, établie sur la commune de Créon, a toujours été fortement investie sur son territoire d’implantation. Elle s’inscrit aujourd’hui dans l’axe « territoire » du règlement d’intervention Spectacle vivant.

L’association

Pour mieux comprendre les attendus du règlement d’intervention « Spectacle vivant » de la Direction de la Culture et du Patrimoine, il vous est proposé de découvrir quelques porteurs de projets qui s’inscrivent dans l’un des trois axes suivants : « transitions », « droits culturels » et « territoire ».

Créée en 2005 dans le but de coordonner la vie associative culturelle et de dynamiser le centre culturel de la commune, Larural mène un projet artistique et culturel de territoire singulier sur les communes de la Communauté de communes du Créonnais et des territoires ruraux à proximité.

||| Développement d’une saison de spectacles vivants et de festivals sous chapiteau ou en itinérance.

||| Déploiement d’un volet de médiation dans le cadre d’un CoTEAC porté par la Communauté de communes du créonnais.

||| Mise en place de résidences territoriales avec une vision davantage en immersion, pluridisciplinaire, autour des écritures contemporaines,

||| Mise en œuvre de projets de territoire avec des compagnies sur des temps de présence impliquants.

Le lien au territoire

Le lien au territoire

Le projet artistique ainsi déployé se caractérise par sa singularité : écriture fine d’une relation constante établie avec des partenaires locaux et des habitants du territoire.

Une forte attention est également portée pour inclure et faire participer les habitants. Près de 90 habitants sont adhérents de l’association, avec plus de la moitié s’investissant activement dans le projet associatif, dans des processus de création avec des équipes artistiques mais aussi dans des commissions opérationnelles qui garantissent une autonomie et une gouvernance démocratique.

Le développement du lien social et de l’interconnaissance sont au cœur des actions mises en place par l’équipe constituée de seulement deux salariées et d’un bureau également très investi.

En 2023 pour améliorer son approche des publics, offrir une résonance à la question des droits culturels, Larural a travaillé en collaboration avec l’agence Ellyx spécialisée dans l’ESS et l’innovation sociale afin de mesurer au mieux l’impact social et territorial de ses actions.

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Théâtre de Gascogne

Visuel Théâtre de Gascogne
Mis à jour le 16 décembre 2024

Le Théâtre de Gascogne engage un projet de coopération territoriale qui unit trois lieux de diffusion (le Pôle, le Molière et le Péglé) pour faire rayonner l’art et la culture gasconne sur le territoire, en renforçant les liens entre les infrastructures culturelles et la communauté locale. Il s’inscrit aujourd’hui dans l’axe « territoire » du règlement d’intervention Spectacle vivant.

Pour mieux comprendre les attendus du règlement d’intervention « Spectacle vivant » de la Direction de la Culture et du Patrimoine, il vous est proposé de découvrir quelques porteurs de projets qui s’inscrivent dans l’un des trois axes suivants : « transitions », « droits culturels » et « territoire ».

Créée en 2005 dans le but de coordonner la vie associative culturelle et de dynamiser le centre culturel de la commune, Larural mène un projet artistique et culturel de territoire singulier sur les communes de la Communauté de communes du Créonnais et des territoires ruraux à proximité.

||| Développement d’une saison de spectacles vivants et de festivals sous chapiteau ou en itinérance.

||| Déploiement d’un volet de médiation dans le cadre d’un CoTEAC porté par la Communauté de communes du créonnais.

||| Mise en place de résidences territoriales avec une vision davantage en immersion, pluridisciplinaire, autour des écritures contemporaines,

||| Mise en œuvre de projets de territoire avec des compagnies sur des temps de présence impliquants.

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Compagnie Des vents et marées

Visuel compagnie Vents et marées
Mis à jour le 16 décembre 2024

Créée en 2013, la compagnie Des vents et marées mène un travail de création en Arts de la rue, de diffusion et de lien avec les personnes en région Nouvelle-Aquitaine et plus particulièrement dans le département des Pyrénées-Atlantiques. Elle s’inscrit aujourd’hui dans l’axe « territoire » du règlement d’intervention Spectacle vivant.

La compagnie

Pour mieux comprendre les attendus du règlement d’intervention « Spectacle vivant » de la Direction de la Culture et du Patrimoine, il vous est proposé de découvrir quelques porteurs de projets qui s’inscrivent dans l’un des trois axes suivants : « transitions », « droits culturels » et « territoire ».

Créée en 2005 dans le but de coordonner la vie associative culturelle et de dynamiser le centre culturel de la commune, Larural mène un projet artistique et culturel de territoire singulier sur les communes de la Communauté de communes du Créonnais et des territoires ruraux à proximité.

||| Développement d’une saison de spectacles vivants et de festivals sous chapiteau ou en itinérance.

||| Déploiement d’un volet de médiation dans le cadre d’un CoTEAC porté par la Communauté de communes du créonnais.

||| Mise en place de résidences territoriales avec une vision davantage en immersion, pluridisciplinaire, autour des écritures contemporaines,

||| Mise en œuvre de projets de territoire avec des compagnies sur des temps de présence impliquants.

Le lien au territoire

Le lien au territoire

Du point de vue de l’ancrage territorial, la compagnie met en oeuvre « Cartographie des mémoires », un projet transdisciplinaire et participatif mêlant création sonore, collectage et arts visuels. Via des actions artistiques et participatives, la compagnie interroge la mémoire d’un territoire, de ses habitants et le rapport affectif que l’on entretien avec les lieux qui nous entourent. Il s’agit à la fois d’un projet de territoire qui s’inscrit dans la durée et une création artistique in situ où artistes et habitants sont amenés à cartographier, dialoguer et expérimenter avec le territoire, son architecture, son histoire, mais aussi avec l’instant présent.

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Le Nombril du Monde

Visuel Le Nombril du Monde
Mis à jour le 12 décembre 2024

Le Nombril du Monde est une structure professionnelle du spectacle vivant, située à Pougne-Hérisson (79), qui propose, entre autre, un programme de soutien aux arts de la Parole. Cette association s’inscrit dans l’axe « droits culturels » du règlement d’intervention Spectacle vivant.

Pour mieux comprendre les attendus du règlement d’intervention « Spectacle vivant » de la Direction de la Culture et du Patrimoine, il vous est proposé de découvrir quelques porteurs de projets qui s’inscrivent dans l’un des trois axes suivants : « transitions », « droits culturels » et « territoire ».

L’association Le Nombril du Monde est dirigée par un collectif d’artistes constitué de Yannick Jaulin, Anne Marcel, Fred Billy, Titus, et les frères Pelletier.

Elle porte un projet très imprégné des droits culturels, en impliquant fortement bénévoles, salariés, administrateurs et habitants.

Formes de participations

Les différentes formes de participations

||| La gouvernance

Le système de gouvernance va au-delà du simple fonctionnement associatif avec une réelle implication des bénévoles, des habitants et des salariés sur des temps collectifs autour de la définition même du projet.

||| Les bénévoles

Les bénévoles sont impliqués dans le projet artistique via la commission relative à la vie du cordon et participent pleinement à la définition du projet artistique de la structure.

||| Les salariés

Les salariés sont sollicités mensuellement et collectivement pour partager l’avancée des actions. Ce sont eux qui définissent les projets et les bilans qui en découlent. Ils sont également impliqués dans la définition des projets pluriannuels dans le cadre du projet artistique.

||| Les habitants

Tout comme les bénévoles, les habitants sont également invités à participer à la définition du projet artistique.

 

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CCN Ballet Biarritz

Visuel CCN_biarritz
Mis à jour le 12 décembre 2024

Depuis 2018, Le Malandain Ballet Biarritz s’associe à la Fondation Cristina Enea de Donostia/San Sebastián pour proposer un programme chorégraphique de sensibilisation à l’environnement aux collégiens âgés de 12 à 15 ans. Il s’inscrit ainsi dans l’axe « transitions » du règlement d’intervention Spectacle vivant

Dirigé par Thierry Malandain, le CCN Ballet Biarritz développe un projet artistique axé autour de la création chorégraphique néoclassique et de sa diffusion. Il développe également un partenariat fort avec l’Espagne et un soutien à la jeune création chorégraphique.

Pour mieux comprendre les attendus du règlement d’intervention « Spectacle vivant » de la Direction de la Culture et du Patrimoine, il vous est proposé de découvrir quelques porteurs de projets qui s’inscrivent parfaitement dans l’un des trois axes suivants : « transitions », « droits culturels » et « territoire ».

Le projet Planeta Dantzan

Le projet Planeta Dantzan

Le programme innovant Art & Environnement «Planeta Dantzan» fait le pari de s’appuyer sur un Ballet pour s’adresser directement aux émotions et provoquer une prise de conscience des jeunes publics aux enjeux environnementaux.

7 000 enfants ont déjà bénéficié du programme depuis sa création en 2018. Pour la moitié des enfants, il s’agit d’une première rencontre avec la danse. Ce projet a un impact positif sur les enfants et leur famille en lien avec leur rapport à la consommation et avec la nature. C’est également un projet transfrontalier qui permet la rencontre culturelle entre des collégiens français et espagnols autour du ballet et de l’environnement.

Le projet vise à impulser un changement d’habitudes chez les élèves en les incitant à devenir des citoyens conscients de la fragilité des équilibres naturels et de la nécessité de revenir à une économie plus verte et respectueuse des ressources.

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Au fil du vent

Visuel de la compagnie Au fil du vent
Mis à jour le 12 décembre 2024

La compagnie Au fil du vent porte un intérêt particulier aux transitions écologiques. Elle s’inscrit dans l’axe « transitions » du règlement d’intervention Spectacle vivant par ses actions autour de l’alimentation, de l’utilisation des énergies et de sa mobilité.

Pour mieux comprendre les attendus du règlement d’intervention « Spectacle vivant » de la Direction de la Culture et du Patrimoine, il vous est proposé de découvrir quelques porteurs de projets qui s’inscrivent parfaitement dans l’un des trois axes suivants : « transitions », « droits culturels » et « territoire ».

La compagnie Au fil du vent développe son travail de création en arts du cirque, de diffusion et de lien avec les personnes en Nouvelle-Aquitaine notamment en Dordogne, son territoire d’implantation.
Créée en 2001 par Johanna Gallard, la compagnie circassienne est spécialisée dans la pratique du fil et a la singularité de compter des poules comédiennes dans son équipe artistique. La compagnie mêle ce médium à une large palette de disciplines comme le clown de théâtre, le théâtre gestuel, la musique.

Au fil du vent s’engage dans la transition écologique par un soin particulier à l’alimentation, aux tournées et à la création de décors.

Energie
Picto énergie
Énergie

La compagnie Au fil du Vent réalise sa scénographie avec des éléments naturels tel que du brou de noix pour teindre les textiles et autres supports. Elle demande un composteur sur les lieux de diffusion où elle se produit et elle est inscrite dans un réseau de mutualisation de matériel.

Elle refuse des dates en salle en période estivale pour éviter de se produire sous climatiseur.

Alimentation
Picto alimentation
Alimentation

La compagnie s’attache à mettre au centre de ses préoccupations le bien-être animal notamment par une alimentation durable, végan et biologique.

Mobilité
Picto mobilité
Mobilité

Johanna Gallard s’attache à travailler sa logique de tournée, son installation sur un territoire et développe un travail en séries en ajustant les prix de cession pour encourager la démarche. Dans sa réflexion elle privilégie aujourd’hui des déplacements dans une dynamique territoriale forte, et principalement régionale, en visant à réduire de façon significative son empreinte carbone.

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La Fausse Compagnie

Visuel La Fausse Compagnie

La Fausse compagnie porte un intérêt particulier aux transitions écologiques. Elle s’inscrit dans l’axe « transitions » du règlement d’intervention Spectacle vivant par ses actions autour de l’alimentation, de l’utilisation des énergies et de sa mobilité.

Pour mieux comprendre les attendus du règlement d’intervention « Spectacle vivant » de la Direction de la Culture et du Patrimoine, il vous est proposé de découvrir quelques porteurs de projets qui s’inscrivent parfaitement dans l’un des trois axes suivants : « transitions », « droits culturels » et « territoire ».

La compagnie Au fil du vent développe son travail de création en arts du cirque, de diffusion et de lien avec les personnes en Nouvelle-Aquitaine notamment en Dordogne, son territoire d’implantation.
Créée en 2001 par Johanna Gallard, la compagnie circassienne est spécialisée dans la pratique du fil et a la singularité de compter des poules comédiennes dans son équipe artistique. La compagnie mêle ce médium à une large palette de disciplines comme le clown de théâtre, le théâtre gestuel, la musique.

Au fil du vent s’engage dans la transition écologique par un soin particulier à l’alimentation, aux tournées et à la création de décors.

Alimentation
Picto alimentation
Alimentation

La compagnie s’attache à mettre au centre de ses préoccupations le bien-être animal notamment par une alimentation durable, végan et biologique.

Mobilité
Picto mobilité
Mobilité

Johanna Gallard s’attache à travailler sa logique de tournée, son installation sur un territoire et développe un travail en séries en ajustant les prix de cession pour encourager la démarche. Dans sa réflexion elle privilégie aujourd’hui des déplacements dans une dynamique territoriale forte, et principalement régionale, en visant à réduire de façon significative son empreinte carbone.

Energie
Picto énergie
Énergie

La compagnie Au fil du Vent réalise sa scénographie avec des éléments naturels tel que du brou de noix pour teindre les textiles et autres supports. Elle demande un composteur sur les lieux de diffusion où elle se produit et elle est inscrite dans un réseau de mutualisation de matériel.

Elle refuse des dates en salle en période estivale pour éviter de se produire sous climatiseur.

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