Brive-la-Gaillarde

En 1980, le service de l’Inventaire général du Limousin est dépêché pour une opération d’urgence à Brive-la-Gaillarde sur les maisons du quartier de la Halle, préalable à un programme de restructuration et de rénovation du quartier. Entre 1982 et 1990, l’opération de repérage est étendue aux autres îlots intra-muros.

A compté de 1991, l’opération d’inventaire des cantons de Brive est décidée. Le territoire à étudier est alors divisé en 3 aires d’étude :  Brive-la-Gaillarde_centre, correspondant à la partie intra-muros de la ville, Brive-la-Gaillarde_faubourg, correspondant aux limites actuelles de l’agglomération et Brive-la-Gaillarde_périphérie, correspondant à la partie rurale de la commune de Brive et aux communes faisant partie de ses cantons (Cosnac, Estivals, Jugeals-Nazareth, Nespouls, Noailles). Une convention est passée avec la ville pour la publication de 3 ouvrages, en 1997 (la collégiale Saint-Martin de Brive), 1998 (l’Hôtel Labenche, musée d’Art et d’Histoire) et 2000 (Brive-la-Gaillarde, urbanisme et architecture), dans la collection des Images du Patrimoine.

En 2000, une autre convention est passée avec la ville pour l’utilisation du cadastre numérisé, le but étant de réaliser un Atlas numérique des espaces et des architectures de Brive.

Ces données d’Inventaire ont été versées sur les bases nationales du Ministère de la Culture (POP).