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Ouverture du portail web « Patrimoine et inventaire de Nouvelle-Aquitaine »

Rondel : Saint Georges ou saint Maurice, Bonnetan, Gironde (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Le service Patrimoine et Inventaire de la région Nouvelle-Aquitaine vient d’ouvrir son portail web. Celui-ci est dédié à la diffusion des données scientifiques de l’inventaire, de sa photothèque, des catalogues de ses centres de documentation, et d’une importante quantité de contenus de médiation culturelle et valorisation de la recherche patrimoniale.

Contexte

La Région Nouvelle-Aquitaine et son service Patrimoine et Inventaire (SRPI) mènent depuis de nombreuses années une politique très active et volontariste visant à une large diffusion des connaissances scientifiques acquises par la recherche Inventaire, notamment par la voie du numérique : voilà plus de 15 ans que le service propose des sites internet donnant accès à des contenus très riches et très variés.

Cependant, dans le cadre de la fusion des régions, la Nouvelle-Aquitaine disposait d’un environnement et d’une offre numérique très éclatée et vieillissante. Pour le patrimoine, pas moins de 6 sites web illustraient l’activité de diffusion numérique des données du service.

Un vaste mouvement a été engagé pour réduire significativement la « grappe » des sites web patrimoine, rationaliser, mettre en cohérence et moderniser l’offre numérique de la collectivité dans ce domaine.

Objet

Le site « Patrimoine et inventaire de Nouvelle-Aquitaine » est un portail documentaire sur le patrimoine néo-aquitain, qui diffuse 2 grands types de contenus :

  • Une documentation : il s’agit des données issues des opérations d’’inventaire.
    • 46 000 dossiers d’inventaire (sur les 60 000 disponibles).
    • 430 000 images (sur les 1 million disponibles)
    • 15 000 références bibliographiques disponibles dans les centres de documentation
  • Des données de médiation : il s’agit des contenus créés pour valoriser la recherche : des centaines d’articles en ligne, vidéo, multimédia, publications, expositions, etc.

 

Ce site offre un accès unique et unifié à toutes ces ressources et propose des outils aux usagers en vue de favoriser et renouveler la navigation, la sélection, la consultation, l’enregistrement et le classement d’informations.

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Le monument préféré des Français 2023

Temps de lecture 2 minutes
Mis à jour le 11 mai 2023

Votez pour votre monument néo-aquitain préféré 2023! Vous allez pouvoir voter pour choisir le monument qui représentera la Nouvelle-Aquitaine et concourra au titre de monument préféré des Français ! Les 14 monuments (un par région) qui auront fait l’objet de ces choix seront ensuite soumis au vote du public.

Dans ce cadre de l’émission-jeu, le monument préféré des Français 2023, trois monuments néo-aquitains ont été retenus :

  • Phare de la Coubre à La Tremblade (Charente-Maritime)
  • Château ducal de Cadillac-sur-Garonne à Cadillac-sur-Garonne (Gironde)
  • Villa Arnaga – Maison d’Edmond Rostand à Cambo-les-Bains (Pyrénées-Atlantiques)

 

Le phare de la Coubre a fait l’objet d’un dossier documentaire dans le cadre de l’étude menée sur l’estuaire de la Gironde. Le château ducal de Cadillac-sur-Garonne a lui aussi été étudié à l’occasion de l’inventaire topographique conduit sur l’ancien canton de Cadillac. Enfin, la villa Arnaga a été le cœur d’une vaste campagne photographique destinée à illustrer un guide rédigé par Jean-Claude Lasserre (ancien responsable du service de l’Inventaire en Aquitaine).

Vous pouvez voter pour votre monument préféré qui représentera la Nouvelle-Aquitaine lors de la phase finale 2023.

Les votes sont ouverts sur le site de France Télévisions jusqu’au vendredi 26 mai 2023 :

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Participez à la réalisation d’un chemin de mémoire en Nouvelle-Aquitaine !

Temps de lecture 2 minutes

Découvrez la cagnotte mise en place sur Helloasso dans le but de financer la réalisation d’un chemin de mémoire en Nouvelle-Aquitaine.

Qu’est-ce que ce chemin de mémoire ? 

Le Chemin de Mémoire suit les traces sanglantes du parcours de la division nazie Das Reich en Nouvelle-Aquitaine, en mai – juin 1944. Il est tout autant un hommage aux victimes, qu’un outil pédagogique de transmission de la mémoire et de l’histoire.

Ce Chemin se veut un témoignage exemplaire de toutes les guerres, de tous les génocides, de tous les crimes contre l’humanité. Il entend favoriser la prise de conscience de chacun face à la désinformation ou à la falsification de l’Histoire.

Comment se matérialisera ce chemin ? 

Les jalons qui matérialiseront l’avancée des SS seront numériquement connectés pour que chacun d’eux renvoie à une vue d’ensemble des faits.

Un site internet en plusieurs langues, interactif, donnera les informations mises à jour régulièrement. Il dénoncera les crimes de guerre partout où ils seront commis.

Un document papier, sous forme de livret, préfacé par Arno Gisinger, spécialiste allemand des atrocités commises à Oradour-sur-Glane, rappellera brièvement l’histoire de ces tragédies. Ces récits seront confirmés par le Conseil Scientifique qui en garantira la vérité historique. Ce livret pourra être remis aux visiteurs éventuels et sera distribué gratuitement dans les établissements scolaires à l’attention, notamment, des professeurs d’histoire et de leurs élèves.

Pourquoi soutenir ce projet ? 

Cette mémoire, c’est notre histoire, mais aussi une lumière pour éclairer notre avenir. La préserver de l’oubli pour la transmettre aux futurs citoyens et citoyennes, n’est pas un devoir, mais une nécessité. C’est une œuvre collective et un symbole de fraternité.

Soutenir le projet

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Nouvelle vidéo consacrée à l’art brut

Autoportrait sculpté d’Antoine Paucard avec un ami, musée Paucard, Saint-Salvadour
©Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire Général du patrimoine culturel, J. Chalard-Deschamps
Temps de lecture 10 minutes
Mis à jour le 12 avril 2023

Dans le cadre de notre collection documentaire Vidéoguide Nouvelle-Aquitaine, nous vous invitons à découvrir une nouvelle vidéo consacrée à l’art brut.

Dans cette vidéo nous vous faisons découvrir les créations de deux hommes hors du commun : le creusois François Michaud (1810-1890) et le corrézien Antoine Paucard (1886-1980). Tous les deux maçons (et paysan pour Paucard), ils ont consacré une grande partie de leur temps libre à sculpter le granit pour représenter des personnages ou des figures animales, chacun à leur manière très singulière. De leur vivant, ils ont exposé leurs oeuvres à la vue de tous dans leur village. Le premier, François Michaud, à Masgot sur la commune de Fransèches, les a installées en extérieur, sur les murs de clôture de son jardin et de ses 2 maisons, mais également sur les façades. Le deuxième, Antoine Paucard, sur la commune de Saint-Salvadour, avait installé les siennes dans un petit atelier-musée personnel en accès libre mais également dans les bois et sur le bord d’une route.

Nous avons ici donné la parole à Daniel Delprato, maire de Fransèches, et à Pierre-Marie Capy, Maire de Saint-Salvadour, pour nous présenter ces deux personnages emblématiques de leur commune.

François Michaud et Antoine Paucard, deux artistes autodidactes
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Mise en ligne des dossiers d’inventaire de la commune de Cernay

Vue aérienne du bourg de Cernay, 
(c) Communauté d'Agglomération de Grand Châtellerault, Mahu Nicolas
Temps de lecture 2 minutes

Dans le cadre de l’étude d’inventaire de la Communauté d’Agglomération de Grand Châtellerault, les dossiers concernant la commune de Cernay viennent d’être mis en ligne.

Cernay occupe une place singulière au sein de Grand Châtellerault : avec seulement 3,3 km² de superficie, il s’agit du plus petit village de l’agglomération. Il accueille tout de même 495 habitants ce qui en fait la 4e commune la plus dense du territoire (après Châtellerault, Naintré et Cenon).

Elle est délimitée par les cours de l’Envigne, au sud, et du Sentinet à l’est et au nord. Ces rivières encadrent un paysage de plaine au relief relativement homogène. En effet, l’altitude moyenne ne varie que faiblement entre 75 et 101 m au-dessus du niveau de la mer. Depuis les remembrements de la seconde moitié du 20e siècle, ce terrain peu accidenté a favorisé les exploitations en openfield, caractérisées par de vastes parcelles agricoles sans limites arborées.

 

Les dossiers concernant les objets mobiliers sont en cours de finalisation et seront publiés ultérieurement.

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Nouvelle vidéo consacrée habitants paysagistes

Temps de lecture 2 minutes
Mis à jour le 16 mars 2023

Les « habitants paysagistes » ou « inspirés du bord des routes » sont des créateurs passionnés sans formation artistique, qui ont transformé leur jardin ou leur maison pour en faire une oeuvre d’art, notamment par la sculpture.

Dans cette vidéo nous vous faisons découvrir les créations de deux hommes hors du commun : le creusois François Michaud (1810-1890) et le corrézien Antoine Paucard (1886-1980). Tous les deux maçons (et paysan pour Paucard), ils ont consacré une grande partie de leur temps libre à sculpter le granit pour représenter des personnages ou des figures animales, chacun à leur manière très singulière. De leur vivant, ils ont exposé leurs oeuvres à la vue de tous dans leur village. Le premier, François Michaud, à Masgot sur la commune de Fransèches, les a installées en extérieur, sur les murs de clôture de son jardin et de ses 2 maisons, mais également sur les façades. Le deuxième, Antoine Paucard, sur la commune de Saint-Salvadour, avait installé les siennes dans un petit atelier-musée personnel en accès libre mais également dans les bois et sur le bord d’une route.

Nous avons ici donné la parole à Daniel Delprato, maire de Fransèches, et à Pierre-Marie Capy, Maire de Saint-Salvadour, pour nous présenter ces deux personnages emblématiques de leur commune.

François Michaud et Antoine Paucard, deux artistes autodidactes
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Appel à communication. Vivre près des cours d’eau en Aquitaine de l’Antiquité à nos jours.

Temps de lecture 2 minutes
Mis à jour le 15 mars 2023

La Fédération Historique du Sud-Ouest (FHSO) prépare son prochain congrès qui portera cette année sur la thématique suivante : Vivre près des cours d’eau en Aquitaine de l’Antiquité à nos jours.

Le congrès, organisé par Madame Stéphanie Lachaud et Monsieur Alain Chaume, se tiendra les 14-15 octobre 2023 dans la ville de Libourne.

Vivre près des cours d’eau constitue un prisme intéressant de la vie ordinaire des populations d’une région d’Aquitaine traversée par plusieurs fleuves, Garonne, Charente, Adour mais aussi la Dordogne sur laquelle se trouve la ville de Libourne. Vivre près des cours d’eau c’est aussi envisager le quotidien près des rivières nombreuses qui irriguent le territoire du Sud‑Ouest de la France, ainsi que les ruisseaux et les canaux. Habiter, travailler, circuler… autant de problématiques qui n’ont cessé d’attirer les hommes près des voies d’eau.

Les propositions de communication doivent être remises pour le 15 juin 2023 au plus tard.

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CVL, parlons-en 2023 ! Retour sur une journée de formation pour les élus lycéens

Temps de lecture 2 minutes
Mis à jour le 10 février 2023

Le mercredi 1er février 2023, les élus lycéens de Nouvelle-Aquitaine étaient invités à une journée d’échanges et de formation. Cette 8e édition s’est tenue simultanément à Bordeaux, Limoges et Poitiers et a rassemblé plus de 350 lycéens.

Le congrès, organisé par Madame Stéphanie Lachaud et Monsieur Alain Chaume, se tiendra les 14-15 octobre 2023 dans la ville de Libourne.

Vivre près des cours d’eau constitue un prisme intéressant de la vie ordinaire des populations d’une région d’Aquitaine traversée par plusieurs fleuves, Garonne, Charente, Adour mais aussi la Dordogne sur laquelle se trouve la ville de Libourne. Vivre près des cours d’eau c’est aussi envisager le quotidien près des rivières nombreuses qui irriguent le territoire du Sud‑Ouest de la France, ainsi que les ruisseaux et les canaux. Habiter, travailler, circuler… autant de problématiques qui n’ont cessé d’attirer les hommes près des voies d’eau.

Les propositions de communication doivent être remises pour le 15 juin 2023 au plus tard.

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Le Musée de la Création Franche à Bègles devient Musée de France

Le musée de la Création Franche à Bègles © Basalt Architecture.
Temps de lecture 2 minutes
Mis à jour le 08 février 2023

Le Musée de la Création Franche vient d’obtenir l’appellation Musée de France

Ouvert en 1989 à Bègles, banlieue proche de Bordeaux, à l’initiative du maire Noël Mamère et de Gérard Sendrey, le site associatif de la Création Franche, devenu Musée municipal en 1996, prospecte les territoires de l’art brut, de l’art populaire et de l’art naïf. Il héberge la Collection Création Franche riche de 20.000 œuvres d’art brut et apparenté, représentée par 500 créateurs de 43 pays différents.

Devenu « équipement d’intérêt métropolitain » en 2017, il fait l’objet depuis 2018 d’un vaste programme de rénovation et d’extension. Pendant le temps de la fermeture au public, la collection reste visible grâce à des propositions hors les murs.
Outre les expositions personnelles ou collectives, différents rendez-vous périphériques en rythment la programmation : rencontres-débats, journées d’étude, animations pluridisciplinaires. Parallèlement, la Création Franche développe une petite activité éditoriale et publie notamment la revue Création Franche diffusée par abonnement.

 

Informations pratiques

 

Musée de la Création Franche,
58, avenue du Maréchal de Lattre-de-Tassigny
33130 Bègles
Tél. 05 56 85 81 73

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Mise en ligne des dossiers d’inventaire de la commune de Bourg

Bourg. Le port : rivage de la Dordogne sur la rive droite du chenal. (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel – Adrienne Barroche
Temps de lecture 2 minutes

La mise en ligne des résultats de l’étude d’inventaire conduite sur les communes riveraines de l’estuaire de la Gironde s’achève avec la commune de Bourg (Gironde), bordée par la Dordogne, entre coteaux et palus.

Cernay occupe une place singulière au sein de Grand Châtellerault : avec seulement 3,3 km² de superficie, il s’agit du plus petit village de l’agglomération. Il accueille tout de même 495 habitants ce qui en fait la 4e commune la plus dense du territoire (après Châtellerault, Naintré et Cenon).

Elle est délimitée par les cours de l’Envigne, au sud, et du Sentinet à l’est et au nord. Ces rivières encadrent un paysage de plaine au relief relativement homogène. En effet, l’altitude moyenne ne varie que faiblement entre 75 et 101 m au-dessus du niveau de la mer. Depuis les remembrements de la seconde moitié du 20e siècle, ce terrain peu accidenté a favorisé les exploitations en openfield, caractérisées par de vastes parcelles agricoles sans limites arborées.

 

Les dossiers concernant les objets mobiliers sont en cours de finalisation et seront publiés ultérieurement.

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